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accompagnement à la découverte de soi accueil ce que je propose pour me contacter accueil > … … créé par chemindeliberte le 30 juil 2014 à 21 h 35 min once upon a time…i dreamed a dream… notre vie est un film dont nous sommes à la fois scénariste, spectateur et acteur principal. avant de naître, nous avons créé un scénario: un rêve magnifique que nous avions envie d’expérimenter, et nous avons choisi de faire de laterre notre décor ou terrain de jeux. nous avons imaginé l’histoire et demandé l’aide de personnages secondaires (qui partagent notre réalité mais sont aussi acteur principal de leur propre film dans ce jeu collectif) pour réaliser le rêve de notre paradis sur terre. puis, nous avons choisi de nous incarner dans l’histoire pour la vivre. nous avons décidé de naître sur terre, dans le monde de l’acteur. si l’acteur que nous sommes n’avait pas de libre-arbitre, il suivrait simplement et aveuglément le scénario créé par lui et pour lui, dont il serait conscient, et le rêve se déroulerait sans embûche… le spectateur que nous sommes aussi par ailleurs regarderait se dérouler un film dont il connaît déjà la fin… c’est bien… mais un peu trop ennuyeux! pour jouer un peu plus, et ajouter un peu de piment, nous nous sommes dit: « qu’est ce qui se passerait si l’acteur oubliait son script une fois entré en scène? qu’est ce qui se passerait si, au fur et à mesure que le décor se mettait en place, l’acteur pouvait modifier le scénario comme bon lui semble pendant la durée du film? le fllm se déroulerait-il comme prévu? » voilà qui est beaucoup plus drôle, et qui rajoute du piquant, non?!!! nous sommes tous des acteurs ayant oublié ce qu’ils sont venus faire ici, et pour cause! a la naissance, nous découvrons un monde rempli d’embûches, dominé par les croyances du mental collectif, qui peu à peu nous éloignent de qui nous sommes et de notre but initial. les circonstances sont idéales pour oublier le scénario et expérimenter des changements dans le film. notre défi? retrouver le scénario du film originel, le laisser se dérouler de lui-même et le vivre! mettre en lumière qui nous sommes et le rôle que nous sommes venus jouer dans ce jeu collectif qu’est l’incarnation. comment? en aimant, tout simplement… mais une fois dans le monde de l’acteur, nous voilà perdus: depuis petits, on nous apprend à lutter contre les événements de notre vie, à nous juger nous-mêmes et à juger les autres, à ne pas aimer ceci ou cela, bref à résister de tout notre être et dire non à ce qui est. nous utilisons le mental pour trouver des solutions à nos « problèmes » et pour changer le film à notre guise (puisque nous bénéficions du libre-arbitre et du pouvoir de l’intention, c’est à dire la capacité à créer avec le mental dans le sens du courant de la vie ou à contre-sens si cela nous chante), mais chaque fois que nous nous laissons guider par la négativité ou les peurs, nous allons à contre-courant et nous ne faisons alors que rajouter chaque fois plus de chaos dans nos vies: nous entrons alors dans de « faux-scénarios » mentaux, qui ne correspondent pas à ce que nous sommes venus expérimenter. comment sortir de cet enfer, cette prison dans laquelle nous nous enfermons nous-mêmes? d’abord, activer une nouvelle dimension de l’être: le spectateur, l’observateur silencieux, toujours présent en nous, qui regarde l’acteur sans rentrer dans le film: je parle de notre capacité à être présent à ce qui est, sans s’identifier au personnage du film. la présence nous permet de prendre du recul, de regarder ce qui se passe et de se détacher du film et donc du mental. la présence permet de faire comme un arrêt sur image, de dire stop à la souffrance et de choisir l’amour: si j’aime les circonstances de ma vie, les situations, les autres et moi-même tel que je suis, sans chercher à changer quoi ni qui que ce soit, je me libère peu à peu des faux-scénarios de vie créés par le mental, et je me rapproche chaque fois plus du merveilleux scénario originel que je suis venu vivre. si au contraire, je choisis de m’opposer à ce qui est, à entrer dans quelque forme de négativité que ce soit (qui n’est somme toute qu’une résistance à ce qui est), j’empêche mon film merveilleux de se manifester dans ma vie. le scénariste que nous sommes, quant à lui, n’aspire qu’à une chose: créer les événements permettant de nous conduire le plus rapidement possible à notre scénario idéal. si nous nous perdons, il se chargera sans cesse de créer des scenarios alternatifs ayant pour unique but de nous remettre sur la voie. face à ces scenarios, une seule chose à faire: aimer tout ce que nous rencontrons, à commencer bien sûr par nous-mêmes. a chaque fois que j’arrive à aimer quelque chose qui me déplaît, je sors de la souffrance, et je me fais à moi-même un cadeau: celui de me rapprocher d’un pas de plus vers qui je suis et ce que je suis venu incarner. aimer, c’est se rendre libre. facile à dire… peut être moins à faire… c’est pour cela que je me propose d’accompagner les personnes qui le souhaitent sur le chemin de retour vers leur trame de vie véritable, vers ce qu’ils sont. ce , aucun autre ne peut le parcourir à notre place. mais lorsque nous nous sentons dépassés par les événements, perdus dans le film et déconnectés des dimensions internes du scénariste et du spectateur, nous avons parfois besoin d’un coup de pouce, d’un coopérant qui accepte transitoirement de jouer le rôle de l’observateur silencieux, celui qui permet à l’autre de découvrir son propre , et d’avancer peu à peu vers l’ autonomie. aimer c’est rendre libre. laissez-vous aimer, soyez pour moi un cadeau et laissez-moi en être un pour vous: celle qui vous accompagnera sur le chemin de votre propre liberté. 2 commentaires » 2 réponses to “…” le 14 oct 2014 à 9 h 59 min no le chemin sur lequel j avance m envoie cette éclairage… tous les scénarios sont bien sûr des fictions, des illusions, des créations mentales pour palier à notre ignorance au niveau de nos ressentis, notre intelligence émotionnelle, notre féminin gelé. communiquer, c est mettre en commun nos ressentis et non nos scénarios complètement fantasmés par manque d écoute chez l enfant en nous. tant que nous ne communiquerons pas au niveau de notre propre ressenti avec notre enfant intérieur coupé de ses émotions, le mental,celui qui croit savoir, viendra prendre le relais de la « chaudière qui sent »…. en panne! accueillir ce qui est, l accepter c est d abord pour moi, accueillir mon monde d émotions, le libérer pour faire place à la réalité de ce qui est et cesser d être en conflit avec un autre qui n est que mon propre reflet de l instant. merci pour ce moment de partage. répondre le 27 oct 2014 à 8 h 49 min chemindeliberte bonjour no, et merci pour votre témoignage! en effet, chacun a son propre chemin, son propre scénario pour finalement l’amener au même résultat: prendre conscience, accepter, lâcher… et peu à peu accéder à une réalité plus conforme à ce qu’on est. le ressenti est capital, je ne vous contredirai pas. pour moi, il s’agit d’aligner le mental sur le ressenti pour accéder à l’action juste. des mots qui semblent simples, mais tout un programme dans la réalité concrète! je vous embrasse. répondre laisser un commentaire annuler la réponse. vous devez être connecté pour rédiger un commentaire. juillet 2019 l ma me j v s d « jan 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 articles récents ma vision de l’autisme vivre son adolescence en conscience (et à tout âge!) perles de sagesse peut-on vivre sans aucune peur? 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